En partenariat avec Reporters sans frontières / Reporters Without Borders / RSF, l’ambassade de France à Washington (French Embassy in the U.S.) présente à partir d’aujourd’hui une sélection de photos de Rémi Ochlik.
L’exposition, intitulée « Revolutions: Photographs of the Arab Spring « , a été présentée l’année dernière dans le cadre du Festival.
Voici le lien si vous désirez en savoir plus.
Le comité de sélection composé des photographes Caroline Hayeur (Agence Stock Photo), Paul Chiasson (Presse canadienne), Jacques Boissinot (Presse canadienne), Jacques Nadeau (Le Devoir), Éric Côté (photographe pigiste), Amélie Ferland-Dufresne (Directrice des communications et de la programmation, Maison du développement durable) et Aude Crispel (Développeuse web, Maison du développement durable) ont choisit le reportage du photographe français Claudio Cambon.
CÉLÉBRATION, VIOLENCE, CATHARSIS : LES FÊTES RELIGIEUSES AU BANGLADESH ET AU SUBCONTINENT DE L’EST
Le Bangladesh est un pays d’une immense diversité culturelle, ainsi qu’en témoignent ses nombreuses fêtes religieuses. Celles-ci permettent de découvrir la longue histoire des différentes communautés ethniques, religieuses et linguistiques qui composent ce pays trop souvent représenté comme pauvre et affligé par le désastre. Ces groupes culturels se sont mutuellement influencés et ont souvent emprunté les uns aux autres pendant des siècles, sinon des milliers d’années. La coexistence de ces différents groupes et leur convergence nous offrent la preuve d’un tissu social finement élaboré, d’un entrelacement aujourd’hui menacé par la croissance déplorable du communautarisme.
J’ai voulu documenter ces festivités, non seulement afin d’en valoriser les aspects déjà connus, mais aussi dans le but de mettre en lumière leurs aspects oubliés et menacés de disparition.
Du 12 au 27 juin 2013, la Maison du développement durable présente, en collaboration avec Équiterre, le photoreportage « Le karité, l’or vert des Africaines » d’Éric Côté. Réalisées dans le cadre du documentaire télé sur le commerce équitable L’or vert des femmes au Burkina Faso, ces images témoignent des gestes qui contribuent à la production du beurre de karité dans une coopérative entièrement gérée par des femmes du Burkina Faso, en Afrique de l’Ouest.
« L’objectif de ce projet est de raconter la façon dont la chaîne de solidarité du commerce équitable unit les régions du Nord et du Sud et permet aux consommateurs d’ici de faire des choix plus responsables », résume le photographe et caméraman Éric Côté.
Produit à partir de la filière équitable de l’Union des groupements des productrices des produits du karité (UGPPK), le beurre équitable est fabriqué par les femmes selon des techniques ancestrales, à partir du fruit du karité. Considéré comme sacré par les autochtones de la savane africaine, cet arbre peut vivre jusqu’à deux cents ans.
En plus des revenus que les productrices touchent, l’alphabétisation des femmes et la scolarisation des orphelins font partie de la prime sociale du commerce équitable de l’UGPPK.
Vernissage et encan silencieux
Le vernissage de l’exposition aura lieu le 11 juin à 17 h dans l’Atrium de la Maison du développement durable. Ouvert au public sur réservation seulement à [email protected]
Un encan silencieux sera organisé pendant toute la durée de l’exposition. La moitié des profits servira à financer les prochains projets du photographe. L’autre moitié servira à aider à financer le lieu de diffusion culturelle de la Maison du développement durable.
Éric Côté
Éric Côté est né au Lac-Saint-Jean et a fait ses études en art et technologies des médias (télévision), au cégep de Jonquière. Il pratique la photo de rue et le reportage documentaire. Il a réalisé une quinzaine d’expositions de photos, dont l’une, au Musée de la civilisation de Québec. Il a publié deux livres : le premier montre des scènes de rue de la ville de Québec et l’autre a comme sujet Gilles Kègle, un infirmier de la rue à Québec. Il est cofondateur du festival international de photojournalisme à Saguenay. Pigiste, il travaille comme réalisateur, caméraman et photographe.
La Maison du développement durable tient à remercier chaleureusement Éric Côté, Équiterre, Novae, le journal Métro ainsi qu’Alcoa, partenaire principal à la programmation de la Maison du développement durable.
La porte-parole 2013 du Zoom Photo Festival Saguenay, Madame Caroline Hayeur, a été sélectionnée parmis les Lauréats 2013 du festival ManifestO de Toulouse qui se déroulera du 7 au 28 septembre 2013. Elle présentera son exposition «Humanitas», une série de portraits, à la lisière du documentaire qui tente d’illustrer les émotions fortes de l’individu, de la naissance à la mort.
ManifestO est l’invitation toulousaine à la jeune photographie contemporaine internationale. Notre appel à auteurs est ouvert à tous sans condition d’âge, de nationalité ou de statut et aucun thème n’est imposé. Un jury indépendant renouvelé à chaque édition sélectionne entre 10 et 15 travaux parmi l’ensemble des propositions reçues.
Le Festival ManifestO pour plus de détails sur le festival ManifestO.
Saguenay, le 15 mai 2013 – Après avoir remporté le prix du lauréat régional dans la catégorie Festivals et événements touristiques : budget de moins de 300 000$ en février dernier, voilà maintenant que Zoom Photo Festival Saguenay a remporté hier soir l’or au Gala National des Grands Prix du Tourisme Québécois 2013. «Je suis tellement content. C’est bien la première fois qu’un événement sur le photojournalisme remporte un prix en tourisme. Je suis content pour le Festival qui aura une plus grande visibilité», de mentionner le directeur général du Festival, M. Michel Tremblay. L’équipe du Festival tient sincèrement à remercier tous les partenaires qui nous aident de différentes manières depuis les débuts de cette grande aventure, dont ce sera déjà la quatrième édition en 2013.
Édition 2013
Cette année, Zoom Photo Festival Saguenay fait une place importante aux femmes photojournalistes qui pratiquent ce travail hors du commun qu’est le photojournalisme. La majorité des expositions qui vous seront présentées mettront en évidence les reportages réalisés par ces femmes. Elles sont de plus en plus nombreuses à vous offrir ce quelque chose de différent dans le regard qu’elles posent sur les sujets qu’elles choisissent d’approfondir. Elles ont aussi des accès privilégiés à des sujets inaccessibles aux hommes. Ce regard différent sera donc l’élément majeur de la programmation de la quatrième édition de ce meeting international de photojournalisme qu’est Zoom Photo Festival Saguenay.
Zoom Photo Festival Saguenay sera de retour pour une quatrième année, soit du 29 octobre au 24 novembre 2013.
Saguenay, le 18 avril 2013 – Après avoir remporté le prix du lauréat régional dans la catégorie Festivals et événements touristiques : budget de moins de 300 000 $ en février dernier, voilà maintenant que Zoom Photo Festival Saguenay est en nomination au Gala National des Grands Prix du Tourisme Québécois 2013. « C’est une grande fierté pour toute l’équipe qui travaille très fort pour faire de cet événement un succès chaque année », mentionne le directeur général du Festival, M. Michel Tremblay. L’équipe du Festival tient sincèrement à remercier tous les partenaires qui nous aident de différentes manières depuis les débuts de cette grande aventure, dont ce sera déjà la quatrième édition en novembre 2013.
Édition 2013
Cette année, Zoom Photo Festival Saguenay fait une place importante aux femmes photojournalistes qui pratiquent ce travail hors du commun qu’est le photojournalisme. La majorité des expositions qui vous seront présentées mettront en évidence les reportages réalisés par ces femmes. Elles sont de plus en plus nombreuses à vous offrir ce quelque chose de différent dans le regard qu’elles posent sur les sujets qu’elles choisissent d’approfondir. Elles ont aussi des accès privilégiés à des sujets inaccessibles aux hommes. Ce regard différent sera donc l’élément majeur de la programmation de la quatrième édition de ce meeting international de photojournalisme qu’est Zoom Photo Festival Saguenay.
Zoom Photo Festival Saguenay se porte donc très bien et l’événement sera de retour pour une quatrième année, soit du 29 octobre au 24 novembre 2013.
Visages traqués, regards insistants, flous et déséquilibres s’amalgament dans cet ouvrage et créent des ambiances sombres où l’angoisse est tangible. Avec Sillage, Charles-Frédérick Ouellet évolue entre réalité et fiction, par le biais d’une progression uniquement visuelle. Dans une forme intime et poétique, il suggère un récit d’atmosphères. Nos regards errent à sphères. travers cette narration photographique. Ils se perdent au détour des images d’un monde sans repères.
Charles-Frédérick Ouellet vit et travaille à Québec. Son travail photographique est le fruit d’une alliance entre une démarche documentaire et une pratique artistique plus proche de l’essai d’auteur. Le résultat de cette approche propose des images brutes et sombres, une photographie contemplative, sur une trame narrative visuelle. En 2009, Charles-Frédérick Ouellet obtient une bourse qui lui permettra d’oeuvrer à Paris comme stagiaire pour l’Agence Magnum Photos ainsi que pour la maison de photographes Signatures. À son retour au Québec, il cofonde le collectif KAHEM. Sillage est son premier livre.
À LA GALERIE LACERTE ART CONTEMPORAIN
1 Côte Dinan, Québec, G1K 3V5
Exposition du 11 avril au 21 avril 2013
Lancement de la publication le 11 avril à 17H
https://www.facebook.com/events/158704667627456/
Du 12 au 30 avril 2013, la Maison du développement durable accueille l’exposition « Llallagua, camp minier » d’Alexis Aubin, grand gagnant de la 3e édition du concours L’Homme et l’environnement organisé par le meeting international de photojournalisme Zoom Photo Festival Saguenay en collaboration avec la Maison. Les organisateurs profitent de cette occasion pour lancer l’édition 2013 de ce concours qui propose une réflexion sur la façon dont l’Homme, au sens large du terme, peut être influencé par son environnement, c’est-à-dire par l’ensemble des conditions naturelles et culturelles qui constituent le cadre de sa vie et qui sont susceptibles d’agir sur lui.
L’exposition Llallagua, camp minier
L’exposition présente Llallagua, une mine bolivienne ayant été exploitée dans sa presque totalité. Le gouvernement n’ayant jamais travaillé à sa nationalisation, les citoyens poursuivent son exploitation de façon artisanale. Les conditions y sont d’autant plus difficiles que la machinerie y est maintenant quasi inexistante. Quelques coopératives ont vu le jour, mais seulement 30 % des travailleurs en sont membres. Chaque matin, enfants et vieillards tentent de soutirer quelques pierres à la « Pacha Mama » (mère Nature en quechua) en échange d’offrandes de coca et d’alcool qui achètent la clémence de cette dernière.
« Le jury a été très impressionné par la qualité du travail d’Alexis. Ce dernier nous a révélé, en plus de son immense talent, une démarche intègre, perceptible dans la narration de son reportage. Passion, intégrité, désir de raconter, Alexis nous réserve de grands reportages », explique Michel Tremblay, directeur du festival. « J’en profite pour inviter les photoreporters à participer à la 4e édition du concours d’ici le 31 juillet », lance-t-il.
Alexis Aubin est un photojournaliste d’origine montréalaise. C’est lors d’un stage au Mexique qu’il prend conscience du potentiel de la photographie comme outil de changement social. Il entreprend alors des études en photographie au Collège Marsan et collabore depuis avec des organisations œuvrant en développement social et international.
L’exposition, gratuite et ouverte au public, se tiendra du 12 au 30 avril 2013 dans l’Atrium de la Maison du développement durable. Le vernissage aura lieu le 16 avril 2013 à 17 h. Ouvert au public sur réservation à [email protected].
Dans le cadre du Jour de la Terre, le 22 avril prochain, Alexis Aubin animera deux visites commentées gratuites de son exposition à 12 h et 12 h 30. RSVP à [email protected]
Un encan silencieux sera organisé pendant toute la durée de l’exposition. La moitié des profits servira à financer les prochains projets de l’artiste. L’autre moitié servira à aider à financer le lieu de diffusion culturelle de la Maison du développement durable.
Le concours L’Homme et l’environnement
Groupe Photo Média International et la Maison du développement durable invitent les photographes à participer à la quatrième édition du concours de reportage photographique L’Homme et l’Environnement, dans le cadre de Zoom Photo Festival Saguenay, meeting international de photojournalisme. Les photos gagnantes choisies par le jury seront exposées dans le cadre du Zoom Photo Festival Saguenay du 29 octobre au 24 novembre 2013 ainsi qu’à la Maison du développement durable à Montréal. Les participants doivent faire parvenir un reportage de 20 photographies minimum avant le 31 juillet 2013 à minuit. Pour déposer un projet : http://lamdd.org/actu/2013/concours-lhomme-lenvironnement
La Maison du développement durable tient à remercier chaleureusement l’artiste, Alexis Aubin, le meeting international de photojournalisme Zoom Photo Festival Saguenay, producteur de l’exposition, le journal Métro, partenaire de visibilité, ainsi qu’Alcoa, partenaire principal à la programmation de la Maison du développement durable.
Cette année, Zoom Photo Festival Saguenay fait une place importante aux femmes photojournalistes qui pratiquent ce travail hors du commun qu’est le photojournalisme. La majorité des expositions qui vous seront présentées mettront en évidence les reportages réalisés par ces femmes. Elles sont de plus en plus nombreuses à vous offrir ce quelque chose de différent dans le regard qu’elles posent sur les sujets qu’elles choisissent d’approfondir. Elles ont aussi des accès privilégiés à des sujets inaccessibles aux hommes. Ce regard différent sera donc l’élément majeur de la programmation de la quatrième édition de ce meeting international de photojournalisme qu’est Zoom Photo Festival Saguenay. C’est pour cette raison que le Zoom Photo Festival Saguenay a le plaisir de vous présenter sa porte-parole pour l’édition 2013. Il s’agit de Madame Caroline Hayeur, photojournaliste membre de l’Agence Stock Photo et enseignante en photojournalisme à l’École des Médias de la Faculté de communication de l’Université du Québec à Montréal. Elle devient ainsi la première femme porte-parole du Festival.
Caroline Hayeur
Résolument optimiste, marquée par une expérience de terrain depuis le début des années 90, Caroline Hayeur explore les questions du corps social : convivialité, partage et différences. Sa quête est celle des lieux et des formes de socialisation — amicale, filiale, communautés plurielles — dans la lignée du documentaire et du portrait humaniste. Elle soude certaines relations en mettant en relief des situations de proximité. Sa pratique est foncièrement ancrée dans le temps présent.
En 1997, RITUEL FESTIF – PORTRAITS DE LA SCÈNE RAVE À MONTRÉAL est le début d’une longue incursion dans le monde de la nuit. Suite à sa présentation lors du Mois de la Photo à Montréal, l’exposition fait le tour du monde du réseau des galeries photo FNAC pendant plus de dix ans. RITUEL FESTIF, TANZ PARTY (2002) puis, AMALGAT* : DANSE, TRADITION ET AUTRES SPIRITUALITÉS (2007) témoignent du corps en mouvement et font l’objet de publications, tournées et sites web. HUMANITAS, une série de portraits documentaires illustrant les émotions fortes de la naissance à la mort, est présentée pour la première fois en 2010 à VU – Centre de diffusion et de production de la photographie (Québec).
Depuis 1994, Caroline Hayeur est membre de l’Agence Stock Photo (Montréal) —collectif de photojournalistes indépendants. L’organisme met en oeuvre des projets tels que : STOCK EN HAÏTI : QUINZE ANS au MUPANAH (Port–‐au–‐Prince) et à la Maison de la culture Cote–‐des- -‐Neiges (Montréal) en 2002–‐2003. En 2012, le collectif célèbre ses 25 ANS D’HISTOIRES sous la direction artistique d’Hayeur où douze photographes exposent pour la rétrospective au Zoom Photo Festival Saguenay – meeting international de photojournalisme puis, à la Maison de la culture du Plateau–‐Mont–‐Royal (Montréal). Elle publie ses reportages dans les magazines québécois et collabore avec les médias français Le Monde et L’Express. Sur le web, elle travaille avec l’ONF (Office National du Film) dans le cadre de leur volet interactif.
Dans le cadre du Sommet sur l’enseignement supérieur qui se déroule les 25 et 26 février, Zoom Photo Festival Saguenay présente, à partir d’aujourd’hui, sur son site Internet zoomphotofestival.ca, la vidéo « Carré Rouge », réalisée à partir des photographies de Jacques Nadeau, photographe au quotidien Le Devoir. Ces photographies et cette vidéo ont été présentées lors du Zoom Photo Festival de Saguenay. Pour réaliser leur document, Romane LeGallou et Loriane Richard, étudiantes en ATM au Cégep de Jonquière, ont eu accès aux milliers de photos prises par le photographe du Devoir. La vidéo « Carré Rouge » a été produite par Zoom Photo Festival Saguenay, meeting international de photojournalisme en collaboration avec le module Art et technologies des médias (ATM) du CÉGEP de Jonquière.
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Exposition Carré Rouge
Peu de photographes de nouvelles proposent quotidiennement des images d’actualité aussi singulières que celles de Jacques Nadeau, et les journaux qui apprécient la finesse de ce travail semblent encore plus rares. Comme lecteur, on y prend goût. S’agissant du « Printemps érable », Nadeau n’a pas attendu que la situation dégénère pour témoigner de l’inventivité exceptionnelle du mouvement étudiant : outre l’audace des « maNUfestations », il était là lors de « l’enterrement de l’éducation accessible à tous », du concert du « Sacre du Printemps », des premiers tintamarres, et ainsi de suite. Affranchie de l’actualité, une telle photo, lorsqu’elle survient dans le regard du photographe et dans le nôtre, raconte une histoire et peut alors se passer de légende. Elle acquiert pleinement le statut qui est le sien dans un livre ou, mieux, dans le cadre d’une exposition.
Tiré du texte de Marc-Yvan Poitras, enseignant d’histoire de l’art, publié sur le site du Zoom Photo Festival Saguenay.
Zoom Photo Festival Saguenay sera de retour du 29 octobre au 24 novembre 2013.
Saguenay, le 18 février 2013 – Pour commémorer le décès du photojournaliste Rémi Ochlik, tué le 22 février 2012 lors d’un bombardement des quartiers de l’opposition syrienne à Homs, le Zoom Photo Festival Saguenay présentera sur son site Internet, le 22 février prochain, la vidéo «Printemps Arabe» de ce photojournaliste qui a reçu plusieurs recompenses prestigieuses dont celle du 1er prix dans la catégorie des nouvelles générales aux World Press Photo Awards 2012 pour son travail sur le sol libyen.
Le vidéo sera accessible sur cette page.
L’exposition Révolutions se déplace à Boston
Après avoir été présentée à La Pulperie de Chicoutimi / Musée régional en novembre 2012, l’exposition « Révolutions » de Rémi Ochlik est présentée gratuitement jusqu’au 22 février par Le Consulat Général de France à Boston au prestigieux Art Institute of Boston at Lesley University. L’exposition est une réalisation de Arnaud Brunet et Jean-François Leroy et elle a été produite par le Zoom Photo Festival Saguenay et La Pulperie de Chicoutimi / Musée régional. L’exposition a par ailleurs été ensencée par les différents médias de Boston.
Rétrospective de sa carrière
Rémi Ochlik n’avait que 28 ans lors de son décès, mais il avait déjà une grande carrière de photojournaliste spécialiste des conflits mondiaux. Il a notamment passé l’année 2011 à couvrir le «Printemps arabe» en Tunisie, en Égypte et en Libye. Après avoir été diplômé de l’école secondaire, il est allé à Paris pour étudier la photographie à l’école Icart Photo. En 2004, à l’âge de 20 ans, il est allé à Haïti pour couvrir les émeutes lors de la chute du président Jean-Bertrand Aristide. Son travail lui a valu le Prix François Chalais du Jeune reporter et son reportage a été projeté au Festival Visa pour l’image. En 2005, il a fondé sa propre agence de photographie appelée IP3 PRESSE, avec pour objectif de couvrir l’actualité à Paris et les conflits à travers le monde. Durant sa carrière, il a couvert de nombreux sujets et son travail a notamment été publié dans Le Monde Magazine, VSD, Paris Match, Time Magazine et le Wall Street Journal.
Zoom Photo Festival Saguenay sera de retour du 29 octobre au 24 novembre 2013.
Les gagnants de l’édition 2013 du World Press Photo viennent d’être annoncés. Le gagnant de la photo de l’année est Paul Hansen, un photographe suédois.
« Gaza Burial »
Suhaib Hijazi et son frère aîné Muhammad ont été tués lorsque leur maison a été détruite par un tir de missile israélien. Leur père, Fouad, a également été tué et leur mère transportée en soins intensifs. Dans la photo, le frère de Fouad mène les enfants à la mosquée pour la cérémonie d’enterrement alors que le corps du père est porté derrière sur une civière.
Cette photo ainsi que toutes les photos gagnantes de World Press Photo 2013 seront présentées à partir du 1 novembre prochain à la Pulperie de Chicoutimi, Musée régional.
Tous les gagnants sur le site du World Press Photo : http://www.worldpressphoto.org/awards/2013
L’exposition « Révolutions » du photographe Rémi Ochlik, décédé le 22 février 2012 à Homs est une réalisation de Arnaud Brunet et Jean-François Leroy. Elle est produite par Zoom photo festival Saguenay et La Pulperie de Chicoutimi, Musée régional.
Le Consulat Général de France à Boston et The Art Institute of Boston de Lesley University présente l’exposition au Art Institute of Boston jusqu’au 22 février. L’exposition est ouverte et gratuite au public.
Adresse :
The Art Institute of Boston (AIB)
Main Gallery
700 Beacon Street, Boston
Horaire de la galerie :
Du lundi au samedi : 9h -18h
Dimanche : 12h – 17h
Pour plus d’informations, téléphonez au : 617.585.6600
Pour plus d’informations sur l’événement: http://www.consulfrance-boston.org/spip.php?article2793
En 2012 la troisième édition de Zoom Photo Festival Saguenay confirme son succès.
L’achalandage total du Zoom Photo Festival Saguenay est évalué à 137 134 visiteurs en 2012, une augmentation de 24 926 visiteurs par rapport à 2011.
Les visiteurs locaux représentent 71,1 % de l’achalandage total de l’événement; les excursionnistes (résidant à plus de 40 km dans la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean) constituent 14,2 % des visiteurs; les touristes (visiteurs provenant de l’extérieur de la région) forment l’autre 14,7 %.
Les dépenses directes des visiteurs du festival durant leur séjour sont de 1 484 908,40 $.